Fils de Pierre Saint-Marc, avocat au Conseil d’Etat, et de Jacqueline Saint-Marc, née Istel, Philippe Saint-Marc nait le 20 septembre 1927 à Paris. Sa formation est pluridisciplinaire, il étudie à la Faculté de droit et de lettres de Paris puis à l’Institut d’Etudes Politiques de Paris. Après un doctorat en droit, il se présente au concours de l’École Nationale d’Administration (ENA) o๠il est reçu major (promotion Jean Giraudoux, 1950-52). Il se marie en 1956 avec Michèle Bertrand, universitaire et économiste à la Banque de France. Ils auront trois enfants, Marie-Hélène, Hubert et Gilles.
Philippe Saint-Marc mène durant les années cinquante et soixante une carrière classique de haut-fonctionnaire, d’abord à la Cour des Comptes, de 1953 à 1960, puis au sein de l’administration chargée des rapatriés d’Algérie. Il tisse ainsi un réseau de contacts au sein de la haute fonction publique et du monde politique qui s’avèrera utile par la suite dans son engagement en faveur de l’écologie. Ainsi, à la fin de l’année 1955, il rejoint le Mouvement Républicain Populaire (MRP) dans lequel il trouve une philosophie spiritualiste et chrétienne. C’est là qu’il se lie d’amitié avec Jean-Marie Pelt. Il s’inscrit à l’aile gauche du parti aux côtés de Robert Buron et André Davoust et consacre ses premiers combats à la décolonisation. Il est exclu un temps du MRP en avril 1958 pour activité fractionnelle au sein du groupe « Rénovation Démocratique  ».
Le parcours de Philippe Saint-Marc est caractéristique de cette deuxième gauche chrétienne dont les positions politiques s’affirment à la faveur de la lutte contre la guerre d’Algérie. De fait, comme il le souligne lui-même, Philippe Saint-Marc a été militant politique avant d’entrer en écologie.
À l’issue de sa mission au sein de l’administration des rapatriés d’Algérie en 1965, il est nommé, à sa demande, chargé de mission à la DATAR (Délégation Interministérielle à l’Aménagement du Territoire et à l’Action Régionale). C’est dans l’aménagement du territoire que s’affirme son intérêt pour l’écologie et la défense de la nature. Philippe Saint-Marc estime ainsi que c’est à l’occasion de l’application du schéma d’aménagement de la région parisienne mis en œuvre par Paul Delouvrier en 1965, qu’il s’engage sur le terrain. Ce projet devait faire de l’Île-de-France une région forte de quatorze millions d’habitants pour contrebalancer l’importance économique et démographique de l’axe rhénan. Philippe Saint-Marc, quant à lui, largement influencé par les thèses de Jean-François Gravier, est sensible à la nécessité de décentraliser les activités sur l’ensemble du territoire.
Dès 1964, Philippe Saint-Marc avait fondé le comité de sauvegarde de la Haute Vallée de Chevreuse dont l’objectif est de lutter contre l’urbanisation de ce territoire encore rural. Parmi les principales « victoires  » de l’association, il convient de citer la campagne entreprise en 1973 pour empêcher le duc de Luynes de vendre 600 hectares de terres à la banque Lazard. À la suite d’une vaste campagne de presse et de pétitions, les domaines forestiers sont rachetés par l’ONF, les terrains ruraux par la SAFER Île-de-France et seule une petite partie des terrains, dans la continuité des agglomérations, est vendue pour y construire un lotissement.
Sa nomination en 1966 comme président du groupe d’étude, puis comme président de la Mission Interministérielle pour l’Aménagement de la Côte Aquitaine ou MIACA (1967-1970) lui donne l’occasion de promouvoir et de mettre en œuvre un autre type de développement des territoires, attentif à la protection de la nature et de l’environnement. L’aménagement de la côte languedocienne, avec des stations intégrées coupées de l’arrière-pays, est pour lui un repoussoir et non un modèle. Il obtient donc que sa mission ne se limite pas à l’équipement du trait de côte mais concerne une bande de trente kilomètres de profondeur dans les Landes, la Gironde et le Pays Basque (à partir de 1968). Il souhaite que son action n’accentue pas les déséquilibres territoriaux et démographiques en vidant l’arrière-pays au profit du littoral. Selon lui, toute opération d’aménagement doit être éloignée de l’esprit de profit. Il promeut un « humanisme écologique  » [1] reposant sur la protection de la nature et l’épanouissement moral et physique des hommes. Cela le conduit, notamment, à considérer que le littoral doit rester une propriété publique, sans que des constructions privées n’en compromettent l’accès au public.
À bien des égards, son action dans la vallée de la Leyre, à cheval sur les Landes et la Gironde, illustre ses principes en matière d’aménagement. Constituée des zones humides et de forêts de feuillus, qui tranchent avec la forêt de pins environnante, la vallée de la Leyre forme un écosystème à part entière. Or, la rivière était en train de se transformer en vaste marécage du fait, notamment de l’érosion de ses berges ; c’est par ailleurs un espace marqué par un déclin démographique important. Pour Philippe Saint-Marc, c’est une région qui meurt. Ce constat lui pose néanmoins un problème éthique : son désir de sauver cette région en attirant des touristes ne risque-t-il pas de la défigurer ? Ses réflexions l’amènent à considérer que la nature ne peut se protéger seule. L’homme aurait selon lui une place à part dans la création et serait investi d’une mission morale de protection de la nature qui ne consiste pas tant à préserver l’existant qu’à favoriser les potentialités d’un espace. Ce haut-fonctionnaire entend donc promouvoir une approche humaniste du développement harmonieux des territoires qui doit bénéficier tant à l’homme qu’à la nature, considérant que la crise écologique ne se limite pas à la seule question de la sauvegarde des écosystèmes, mais possède aussi une dimension morale et spirituelle. Sur ce point, il se distingue d’autres écologistes comme Bernard Charbonneau qui remettent en cause la démarche même de développement d’un territoire et critiquent l’existence de la MIACA, quelle que soit l’orientation de ses travaux.
Les premières réalisations de la MIACA s’inspirent de principes chers à Philippe Saint-Marc. Il lance un programme d’équipements sportifs accompagnant la remise en état de la Petite et de la Grande Leyre, avec des haltes pour canoéistes, des centres sportifs, des piscines. De plus, ses fonctions de directeur des spectacles, de la musique et des lettres au ministère d’État chargé des Affaires culturelles (1969-1970) lui permettent de lancer des programmes de « rénovation culturelle  », selon ses termes, pour promouvoir non seulement le tourisme mais aussi le touriste. Il cherche ainsi à animer les vacances par des festivals itinérants et des spectacles poétiques dans les campagnes, en collaboration avec la CFDT et son organisation de tourisme social. Ces premières initiatives trouvent par la suite un prolongement avec la création, en 1972, des Centres Permanents d’Initiation à l’Environnement (CPIE), dont l’objectif est de faire découvrir à la fois la nature et la culture d’une région.
Son approche particulière du développement régional est, selon Philippe Saint-Marc, bien perçue par la presse régionale et par l’opinion publique. Il s’oppose cependant aux tenants d’une politique d’aménagement du territoire plus classique et aux intérêts qui lui sont liés. Son action est ainsi critiquée par le ministère de l’Équipement, dirigé par Albin Chalandon, par le préfet de Gironde, Gabriel Delaunay, et elle est combattue par certains groupes de pression bordelais, notamment par la voix d’Aymar Achille-Fould, député de Gironde. Ayant refusé une dérogation pour construire des logements sur un terrain non constructible aux environs de Biscarosse, il est révoqué par le Premier ministre, Jacques Chaban-Delmas, en février 1970.
Cette décision, peu commune dans l’univers feutré de la haute fonction publique, n’est pas une rupture dans l’engagement écologique de Philippe Saint-Marc ; elle lui donne, au contraire, une plus grande dimension. En 1971, il publie Socialisation de la nature et remporte un succès éditorial appréciable avec 100 000 exemplaires vendus. Dans ce livre très documenté, Philippe Saint-Marc systématise et approfondit des réflexions antérieures (il avait fait paraître en 1967 dans la revue Études un article ayant pour titre « Socialisation ou destruction de la Nature  »). Ce livre doit également beaucoup à son expérience au sein de la MIACA, dont il s’attache à tirer des enseignements globaux et des mesures concrètes.
À bien des égards, Socialisation de la nature est le livre d’un haut-fonctionnaire, énarque et docteur en droit. Il s’attache à remonter la chaine des causalités pour comprendre la crise écologique et démontrer que le combat écologique ne peut se borner à la défense ponctuelle d’un site ou à la protection d’une espèce particulière. Selon Philippe Saint-Marc, il faut mener une autre politique de développement, inspirée par ce qu’il appelle parfois « l’humanisme écologique  ». Ce livre mêle donc statistiques, considérations morales et propositions de réorganisation administrative pour promouvoir un nouveau dialogue entre l’homme et la nature. Ce n’est pas un livre de technocrate, d’autant plus que Philippe Saint-Marc insiste sur l’importance du suffrage universel et des associations pour « défendre la cause de la nature en s’opposant au pouvoir de l’argent  ». Dans le contexte du début des années soixante-dix, alors que les échos du premier rapport du Club de Rome alimentent le débat sur la croissance économique et que certains scientifiques s’alarment des dégà¢ts opérés sur l’environnement, les réflexions de Philippe Saint-Marc s’inscrivent dans des préoccupations plus larges. Mais du fait de sa formation, il se préoccupe, ce qui fait son originalité, de proposer des mesures applicables et efficaces. Cette volonté de changer le système économique et social par étape, en laissant à l’État un rôle important, le distingue d’écologistes militants plus radicaux qui commencent à s’affirmer, autour des Amis de la Terre ou encore au sein du journal d’écologie politique et contestataire La Gueule ouverte que vient de fonder Pierre Fournier.
En 1972, René Richard propose à Philippe Saint-Marc de rédiger une charte de la nature que celui-ci a appelée de ses vœux dans Socialisation de la nature. René Richard, ingénieur, responsable syndical à Force Ouvrière, a été vice-président du Conseil économique et social à la fin des années cinquante, et préside alors l’URVN, l’Union Régionale de Provence et de Côte d’Azur pour la Sauvegarde de la Nature et de l’Environnement, créée en 1971.
L’objectif est double. Il s’agit d’abord de mobiliser l’opinion publique autour d’un projet de protection de la nature et, par ce biais, de faire pression sur les pouvoirs publics. Il s’agit également de provoquer chez les associations de protection de la nature un « saut qualitatif  », en les amenant à prendre en compte l’ensemble du champ de l’environnement, concept neuf à l’époque. Dix sept associations s’associent au projet, dont la Fédération Française des Sociétés de Protection de la Nature (FFSPN) qui la décline en un programme pour la sauvegarde de la nature et de l’environnement. Si les partis politiques ne sont pas représentés en tant que tels, René Richard et Philippe Saint-Marc, les maîtres d’œuvre de la charte, prennent garde à respecter une sorte d’équilibre politique implicite. Hugues de Sacy représente la société de protection des paysages présidée par Jean-Paul Palewski, député UDR (Union des Démocrates pour la République) des Yvelines, cependant qu’André-Edouard Mars-Vallett représente l’Union de défense des pêcheurs amateurs, proche du parti communiste. Il faut près d’un an et une vingtaine de réunions pour élaborer cette charte qui paraît le 14 novembre 1972. À l’époque, les milieux écologistes proches du gauchisme, notamment autour de La Gueule ouverte, ont ironisé sur le caractère lénifiant de la charte qui synthétise l’humanisme écologique prôné par Philippe Saint-Marc. Celle-ci n’en recueille pas moins un écho important dans l’opinion : relayée par la presse, notamment Le Parisien libéré ou encore Témoignage chrétien, la charte recueille environ 300 000 signatures. La charte contribue ainsi à diffuser une approche globale de la protection de la nature et de l’environnement au début des années soixante-dix
Sa révocation, puis la rédaction de la charte de la nature, ont attiré l’attention des politiques sur ce haut fonctionnaire, ancien membre du MRP, proche de la deuxième gauche d’inspiration chrétienne, qui n’hésite pas à prôner un « socialisme humaniste  » [2] pour permettre la « survie de l’homme et son progrès  ». Ainsi, en 1973, il participe, à la demande d’Edith Cresson, à un groupe de travail sur les problèmes d’environnement que celle-ci anime au sein du parti socialiste. Il rencontre également François Mitterrand qui signe la charte de la nature.
À la fin de l’année 1973, les milieux informés connaissent la gravité de la maladie de Georges Pompidou ; dans ces conditions, une élection présidentielle anticipée semble probable. Du fait de sa notoriété et du retentissement de la charte, Philippe Saint-Marc est approché par Jean Carlier (journaliste engagé dans la protection de la nature), pour être candidat à l’élection présidentielle en tant que représentant du courant écologique. Encore aujourd’hui, Philippe Saint-Marc souligne la difficulté du choix qu’il a dà » opérer à l’époque. Après avoir hésité, il refuse, considérant que l’écologie ne doit pas se constituer en parti politique à part entière mais pénétrer l’ensemble des forces politiques. Ce refus s’explique aussi probablement par des désaccords politiques avec les éléments les plus à gauche du courant écologique.
Hostile à une éventuelle participation du parti communiste au pouvoir, Philippe Saint-Marc refuse de soutenir François Mitterrand, candidat de l’Union de la Gauche, et appelle à voter Valéry Giscard-d’Estaing au second tour de l’élection présidentielle en mai 1974. Selon lui, à la différence de François Mitterrand, le nouveau président n’a pas un contact personnel fort avec la nature ; en revanche, il en perçoit, mieux que le candidat de la gauche, les implications politiques. Aucun lien n’unissait alors les deux hommes si ce n’est une scolarité à l’École Nationale d’Administration à un an d’intervalle. En revanche, Philippe Saint-Marc connaît bien Jean Sérisé, très proche conseiller de Valéry Giscard-d’Estaing, nommé en mai 1974 chargé de mission auprès du président de la République. Ainsi, alors que la culture politique de nombreux militants et le vote personnel de René Dumont pour François Mitterrand font pencher l’écologie politique à gauche, Philippe Saint-Marc se retrouve étiqueté à droite dans le mouvement écologique, tout en étant considéré comme trop à gauche par les éléments conservateurs de l’entourage présidentiel.
Cette position en marge des partis politiques ne l’empêche pas de jouer un rôle influent en matière de protection de la nature et de l’environnement durant le septennat de Valéry Giscard-d’Estaing. Dès l’entre-deux-tours, Jean Sérisé demande à Philippe Saint-Marc de concevoir le programme du futur président en matière d’environnement, qu’il élabore à partir de la Charte de la nature. Par la suite, il constitue avec Jean-François Saglio, directeur de la Prévention des Pollutions et Nuisances au ministère de la Qualité de la vie, Pierre Richard, conseiller technique du président pour les problèmes d’environnement et Jean Sérisé, une équipe qui définit la politique environnementale, particulièrement entre 1974 et 1977, lorsque les ministres de l’environnement successifs ont peu d’influence. Avec la nomination de Michel d’Ornano comme ministre de la Culture et de l’Environnement en mars 1977, les relations entre cette équipe de conseillers et le ministère deviennent plus équilibrées. De fait, durant toute cette période, les relations nouées de longue date au sein du monde politique et de la haute fonction publique lui sont très utiles pour promouvoir une prise en compte des questions environnementales dans la législation. Ainsi, Philippe Saint-Marc a été le directeur de cabinet du rapporteur de la loi sur la protection de la nature du 10 juillet 1976, Roland Nungesser, lorsque celui-ci était ministre de la Jeunesse et des Sports en 1968.
Philippe Saint-Marc contribue aussi, dans les années soixante-dix, à la création des organes consultatifs en matière d’environnement. Il est membre du Haut-Comité de l’Environnement (1975-1979), du Conseil d’information sur l’énergie électronucléaire (1978-1981) ainsi que du Conseil d’administration de l’Agence des espaces verts de l’Île-de-France (1976-1984). Il met ainsi en application les principes qu’il a défendus dans Socialisation de la nature sur le rôle des associations et des citoyens dans la définition de la politique environnementale. Personnellement hostile au plan électronucléaire, il œuvre aux côtés des autres écologistes présents au Conseil d’information sur l’énergie électronucléaire, Pierre Samuel des Amis de la Terre et Roland Chevriot, de Nature et Progrès, à une plus grande diffusion de l’information dans ce domaine. Sa situation est néanmoins ambiguà« du fait de sa proximité avec la majorité qui met alors en œuvre le plan électronucléaire.
Membre du Centre des Démocrates Sociaux (CDS), il se présente à Paris aux élections municipales de 1977 à la demande de Michel d’Ornano. Cette candidature semble avoir surtout été un moyen pour lui d’obtenir le classement du marché Saint-Germain dans le VIe arrondissement, alors menacé de destruction. De fait, Philippe Saint-Marc souligne que son influence au sein du CDS a été très limitée et qu’il n’est pas parvenu à en infléchir les positions pour en faire un parti plus sensible aux questions environnementales.
Philippe Saint-Marc reconnaît que son influence extrapolitique a été plus forte sous Valéry Giscard-d’Estaing que sous François Mitterrand. Dans les années quatre-vingt, il poursuit son action au sein du Comité de la charte de la nature et s’intéresse plus particulièrement à la relation entre l’écologie et la santé. Il crée ainsi en 1980 la SIRES, Société Internationale de Recherche pour l’Environnement et la Santé et publie plusieurs ouvrages. À la demande de Jérôme Monod, conseiller de Jacques Chirac, il est nommé membre de la Commission d’Orientation du Plan national Santé-Environnement en 2003.
Philippe Saint-Marc considère que l’écologie permet de comprendre et d’agir sur le monde de la même manière que la philosophie des Lumières permettait d’agir sur le monde du XVIIIe siècle. Au-delà d’une approche uniquement scientifique des questions écologiques, il considère que le progrès de l’homme passe par l’ « humanisme écologique  ». Selon lui, la recherche du bien-être physique et spirituel de l’homme doit être le fondement de la société et passe par une nouvelle relation de l’homme à son environnement, qu’il se doit de sauvegarder mais aussi d’embellir.
Se distinguant des écologistes les plus à gauche du fait de sa modération politique, de formation administrative, à la différence des écologues, Philippe Saint-Marc se définit comme un marginal dans la haute-fonction publique du fait de ses engagements. Cette marginalité relative est loin d’avoir toujours été un handicap car il a toujours su conserver des relations cordiales et utiles dans ces différents milieux, devenant dans les années soixante-dix un intermédiaire entre les différents mondes de l’écologie et contribuant alors à la promotion d’une approche globale des questions environnementales.
Å’uvres de Philippe Saint-Marc :
– Les secteurs de la modernisation du paysannat au Maroc, 1950.
– La France dans la CECA. Une expérience de planifications multiples du charbon et de l’acier, Paris, Armand Colin, 1961.
– Socialisation de la nature, Paris, Stock, 1971.
– La Pollution, Paris, Robert Laffont, 1975.
– Progrès ou déclin de l’homme ?, Paris, Stock, 1978.
– L’économie barbare, Paris, Frison-Roche, 1994.
– L’Ecologie au secours de la vie. Une médecine pour demain (en collaboration avec Jacques Janet), Paris, Frison-Roche, 2004.
Sources :
– Entretien avec Philippe Saint-Marc, réalisé le 1er avril 2010.
– Musée du vivant. Fonds Philippe Saint-Marc.
– Archives privées de Philippe Saint-Marc.
[1] Les passages entre guillemets sont extraits d’un entretien avec Philippe Saint-Marc, réalisé le 1er avril 2010
[2] Philippe Saint-Marc, Socialisation de la nature, Paris, Stock, 1971, p. 35